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Top Five : Nos 5 coupés préférés - The Good Motors
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Top Five : Nos 5 coupés préférés

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Certes, ils se soucient plus d’élégance et de style que d’habitabilité ou de praticité, mais les coupés nous en mettent plein la vue !

1. Ford Mustang

Quelques sportives américaines – Chevrolet Corvette, Ford Thunderbird, Dodge Challenger ou Pontiac Firebird – ont atteint le rang de légende sur pneus. Mais la plus mythique d’entre toutes est sans nul doute la Mustang. Cette lignée, née en 1964, n’a jamais cessé d’être produite. C’est en Mustang qu’Anouk Aimée et Jean‑Louis Trintignant roulent tendrement dans Un homme et une femme (1966), en Mustang toujours que Steve McQueen fonce dans les rues de San Francisco dans Bullitt (1968). La dernière mouture, apparue en 2013, reprend l’esprit des origines. Au menu : lignes suggestives, moteur V8 glouton et tarifs ultra raisonnables. Récemment restylé, le coupé Ford abrite toujours, sous son interminable capot moteur, un V8 de 5 l développant 450 ch. Un 4‑cylindres EcoBoost de 317 ch est aussi proposé. Le conseil The Good Life… prenez le V8 tant qu’à faire ! Prix : à partir de 39 900 €.

Ford Mustang.
Ford Mustang. DR

 

2. Audi A5

La première A5 a connu un vrai succès. Ses lignes fluides et son profil ondulant très réussi expliquent en partie cet engouement. Sur cette seconde génération, la « vague latérale » s’est hélas atténuée, pour se transformer, in fine, en une onde à peine visible. La calandre Singleframe se fait de plus en plus proéminente et finit par remplacer tout bonnement le pare-chocs. Ce faisant, la belle auto, née en 2016, a perdu un peu de la subtilité esthétique de sa devancière. La nouvelle série reste disponible en coupé et cabriolet. Chose de plus en plus rare, ce dernier accueille confortablement 4 passagers. La capote électrique peut se manoeuvrer en roulant à faible vitesse. Bien utile quand une averse inopinée pointe le bout de son nez. A noter, cette année, l’arrivée d’une version RS5 musclée – réservée au coupé – mue par un V6 de 450 ch. Prix : à partir de 39 760 €.

Audi A5.
Audi A5. DR

 

3. Mercedes Classe E Coupé

Ces dernières années, dans un louable souci de simplification, la marque à l’étoile a mis un peu d’ordre dans ses appellations. Ainsi, depuis 2010, le Coupé CLK s’appelle tout simplement Coupé Classe E, soit le patronyme de la famille dont il utilise la plateforme. Il se décline en variante cabrio, et reprend, en plus imposant, les formes du Coupé Classe C, plus petit que lui… Vous suivez ? Au menu, proue typiquement Mercedes, interminable vitre de custode latérale en deux parties et arrière fuyant, rappelant un peu feu – intéressant mais méconnu – le Renault Laguna Coupé. Sous le capot, on retrouve les moteurs de la berline avec, notamment, une version 53 AMG, dont le 6‑cylindres bénéficie – pour la première fois sur cette griffe sportive – d’une hybridation légère. L’intérieur s’habille d’un luxe un poil bling‑bling, qui peut froisser les conducteurs amateurs de dépouillement. Prix : à partir de 37 550 €.

Mercedes Classe E Coupé.
Mercedes Classe E Coupé. DR

 

4. BMW Série 8

Adieu la Série 6 Coupé, bonjour la Série 8. Ou plutôt re-bonjour, car une Série 8 a déjà roulé dans les année 90, arborant des phares escamotables comme c’était la mode à l’époque. Ce nouveau modèle vient d’être présenté à l’occasion des 24 Heures du Mans, en juin dernier. Pour le moment, seule la version Coupé a été dévoilée. Le véhicule reprend les lignes du Série 8 Concept, aperçu au Concours d’élégance Villa d’Este 2017. La voiture arbore une face avant inédite qui inaugure le style des futures BMW. A l’intérieur, la console centrale, 100 % numérique, est légèrement tournée vers le conducteur. Pour son lancement, la Série 8 est proposée en deux variantes : 840d, animée par un 3 l diesel de 320 ch, et M850i, recevant un V8 4,4 l biturbo de 530 ch. D’autres versions, dont un dérivé cabriolet et une variante Grand Coupé à 4 portes, feront leur apparition en 2019. Prix : à partir de 99 700 €.

BMW Série 8.
BMW Série 8. DR

 

5. Lexus RC

Ce coupé emprunte sa plate-forme à la berline IS, mais ne partage aucune pièce de carrosserie avec elle. En revanche, il reprend intégralement sa planche de bord. Il est avant tout destiné aux Etats-Unis, marché très friand de carrosseries 2 portes. Son style « façon manga », intègre les concepts du courant L‑Finesse, qui habille les derniers produits Lexus. Des appellations comme L‑Piquant ou L-Tranchant auraient paru plus adaptées, tant ce design fait un usage immodéré des angles et des lignes acérées. Comme les modèles récents de la gamme, le RC arbore l’imposante calandre trapézoïdale, anguleuse à souhait. Deux motorisations sont disponibles. Le 300h est un hybride, comme de coutume chez Lexus, de 223 ch. Le second, baptisé RCF, reçoit un énorme V8 5 l de 477 ch. A noter que ces deux véhicules sont de simples propulsions : leurs roues arrière seules ont pour mission de faire passer la puissance. Séances de drift en perspective ? Prix : à partir de 52 890 €.

Lexus RC.
Lexus RC. DR

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