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Knokke-le-Zoute : quelques points de repèreKnokke-le-Zoute : quelques points de repère
Knokke-le-Zoute : quelques points de repère
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Voyage

Knokke-le-Zoute : quelques points de repère

Voyage

Frank Sinatra et Bruce Springsteen ont flâné sur sa plage, les membres de la famille royale y ont leur retraite discrète, les vieilles fortunes et les nouveaux riches se croisent sur les greens du Royal Golf Club : Knokke-Heist est « la » station balnéaire de la mer du Nord. Un Saint-Tropez un peu frisquet, un Gstaad du plat pays. Pour les beautiful people qui y passent leurs week-ends, c’est the good life !

Dormir : le chic, ici, c’est de se faire héberger par des amis dans une propriété privée, mais quelques hôtels cosy se nichent dans des manoirs typiques de la station. Par exemple, le Manoir du Dragon, ou les hôtels Lugano, Lebeau, Britannia, Villa Verdi, Pavillon du Zoute.


Dîner : les clients de Knokke ne sont pas nés de la dernière pluie. Pour séduire leurs palais exercés, la ville compte pas moins de 12 étoilés Michelin, tels Bartholomeus, Cuines 33 ou Sel Gris, ainsi que des talents montants, comme le très doué Maurice De Jaeger, chez Vinum & Sensum. Les bars ne manquent pas non plus, et The Pharmacy a été élu meilleur bar à cocktails de Belgique. Et pour voir et être vu, rendez-vous au Knokke Out, installé juste derrière le tennis-club et passage obligé de la nightlife knokkoise.


Plages et galeries d’art à Knokke-le-Zoute

Bronzer : entre la « Zoutestrand », la plage la plus classique, ou « Riverwoods », la plus branchée, on choisit ses transats en fonction de ses amis. Les anonymes loueront un transat ou une cabine sur Monroe Beach, Blue Buddha Beach, Beaufort Plage ou au Vintage Beach Club. Et oubliez le char à voile : emportez plutôt votre kitesurf !

L’installation 30 Wind socks de Griet Dobbels sur la plage de Knokke.
L’installation 30 Wind socks de Griet Dobbels sur la plage de Knokke. Young-Ah Kim

Shopper : des marques belges, comme Dries Van Noten ou Essentiel, des boutiques multimarques aux sélections précises, c’est le moment de faire flamber la carte de crédit. Mais avec la centaine de galeries essaimées dans les rues commerçantes, c’est sur l’art qu’il faut miser. Antiquités, avant-garde, écoles belges… on trouve encore des objets et des petits maîtres accessibles. Mais on voit aussi des collectionneurs acheter un Keith Haring, un James Ensor ou un Picasso comme qui rigole.


Se renseigner: www.visitflanders.com / www.knokke-heist.be

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